DESTROY SHE SAID

DESTROY SHE SAID

Destroy She Said es groupe de hard rock australien, originaire de Melbourne. C’est une nouvelle machine grinçante, incessante, alimentée en combustible rock Australien classique et filtrée une gamme d'influences incluant Black Sabbath, QOTSA, AC/DC et Rose Tattoo.

Down to Dirty, son premier album, attrape l'auditeur par les couilles, prêt à lui mettre une rouste avant de l’emmener au bar lui offrir une bonne bière fraiche après que le combat eut fini. La démarche musicale est arrogante et puante : des guitares dangereuses, une voix rauque, une rythmique impitoyable. La dure loi adaptée à la rue. Dur, brutal et honnête.

Les cinq membres , le chanteur Simon McCullough, les guitaristes Youngy et Dave Walker, le bassiste Scampers et le batteur Greg Aldridge se sont rencontrés vers la fin 2009. Dès la première répétition, ils ont ressenti que quelque chose de spécial se construisait.

Dès cet instant, le groupe met en place un travail éthique qui les ammène en 2013. Formule rabâchée mais si vraie : travailler dur pendant les répétitions donne de grands disques. Destroy She Said en profite pour construire une fanbase lors de ses tueries de concert. Encore une bonne raison pour devenir un grand groupe de rock.

Et si vous écoutez les premières critiques, Destroy She Said a atteint sa cible. Le Melbourne’s Hard Rock Show qui émet sur la Chaîne 31 a décrit l’album comme « L’un des albums les plus couillus de la dernière décennie ». Down to Dirty est en effet un chef-d’œuvre de pub-rock moderne.

Alors qu’est-ce qui le rend si bon ?

Certains auditeurs reconnaissent, dans la voix de Simon McCullough, une petite similitude avec celle de Bon Scott, d’autres avec celle d’Angry Anderson. Il y a un côté stoner à coup sûr, un son classique de guitares Gibson/Marshall et une rythmique qui suinte des milliers de bières.
Il y a un groove qui décolle le papier peint sans le toucher. Et il y a un ton irrévérencieux, une langue pas sa poche de kangourou, que l’on retrouve essentiellement dans les gènes australiens.

Le West Australian Magazine 100% Rock souligne : « ce qui place Down To Dirty en tête de la meute, c’est l’originalité du groupe. Bien sûr que que l’on trouve le son classique du Aussie Rock, mais ce que vous pouvez entendre surtout, c’est un mélange unique d'influences différentes. Un ton résolument frais offert par cinq types s’intéressant à quelque chose de plus grand que leur propre valeur.

2013 est l’année de la consolidation et de la croissance pour Destroy She Said après avoir bien œuvré sur la formule payante du travail de forcené.

Cela va-t-il marcher ? La réponse doit être oui. Chaque jour voit de nouveaux fans loyaux et passionnés rejoindre la communauté. Parce que la présence d’un titre sur la compilation Rock Des Antipodes VOL2 a jeté un énorme coup de projecteur sur le groupe en Europe. Et parce que la majeure partie des gens pensent : « Mais putain pourquoi n’ai-je pas entendu parler d’eux avant et pourquoi n’ai-je pas encore l’album dans les mains ? »

 

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DESTROY SHE SAID - DOWN TO DIRTY

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