GREEN JACK

GREEN JACK

Né le 12 mars 1951, Jack Green tombe dans la marmite  musicale grâce à sa tante qui possédait un  magasin de disques à Glasgow fin des années 50, début des années 60.

A 13 ans, Jack Green forme déjà ses propres groupes et joue dans des clubs locaux  Et à 15 ans, il compose ses propres compositions en compagnie de son ami, Laray Collins.

Un éditeur londonien entend un de ces titres et s’envole afin de signer le duo. Des groupes de pop  reprennent les chansons et l’une d’entre elle cartonne en Allemagne et l’autre aux Pays-Bas, le même titre enregistré par deux différents groupes. Jack Green est invité à se produire dans la comédie musicale Hair à 18 ans et endosse le rôle de Woof aux côtés  de Joan Armatrading.

 En 1972,  Jack Green forme Sunshine et signe un contrat avec Warner Bros. En 1973,  Jack Green signe pour une pige de guitariste avec T.Rex, le groupe de glam mondialement connu notamment pour son titre, Bang a Gong (Get it On)

Jack Green tourne avec Marc Bolan (qui décèdera en septembre 1977 d’un accident de voiture) au travers de l’Europe, des Etats-Unis, du Canada,  du Japaon et de l’Australie.

 Avant de lancer sa carrière solo

De 1974 à 1979, Jack Green intègre Pretty Things et Richie Blackmore’s Rainbow, avant de lancer sa carrière solo qui le verra produire quatre albums entre 1880 et 1984 : Humanesque, Reverse Logic, Mystique and Latest Game.

Humanesque est l’album qui va donner le succès et la reconnaissance à Jack Green. Ne trouvant pas le bon producteur, il va s’attacher lui-même à la production et composera des titres avec des membres de T.Rex. Ritchie Blackmore viendra faire un solo et Brian Chatton (John Miles) et Andy Dalby (Arthur Brown) participeront à l’album également. 

Le second album, Reverse Logic, est donc pour la première fois réédité sur CD. Il contient en bonus le RCA Specila Series fait d’interview de l’artiste et d’extraits de son premier album. Définitivement un collector pour les fans !

On y trouve des compositions entrainantes comme One By One, Let Me Go, Let It Rock..

On retrouve Brian Chatton, Andy Dalby, mais aussi Mel Collins (King Crimson), Simon Fox (BeBop de Luxe) et Pete Tolson (Pretty Things)

Pour traduire un album de Jack Green, on emploiera les termes de : infectieux, contagieux, admirable vocaliste, chansons ciselées et imparables et guitares nerveuses.

 

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